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Forces armées du Burkina Faso

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Forces armées du Burkina Faso
Des soldats burkinabé en 2017 au Camp Général Bila Zagré.
Des soldats burkinabé en 2017 au Camp Général Bila Zagré.
Fondation
Branches Groupement central des armées
Armée de terre
Force aérienne du Burkina Faso
Gendarmerie
Brigade nationale des sapeurs pompiers
Commandement
Commandant en chef Capitaine Ibrahim Traoré
Ministre de la Défense Général de brigade Kassoum Coulibaly
Chef d'état-major Général de Brigade Célestin Simporé
Main-d'œuvre
Actifs 11 200 (armée de terre 6 400, force aérienne 600, gendarmerie 4 200)
Budgets
Budget 1,2 % du PNB (2006)
Articles annexes
Histoire Guerre de la Bande d'Agacher
Guerre civile sierra-léonaise
Insurrection djihadiste au Burkina Faso

Les forces armées du Burkina Faso sont l'armée nationale de l'État africain du Burkina Faso. Elles comprennent l'armée de terre, l'armée de l'air, la gendarmerie nationale, la brigade nationale des sapeurs pompiers, le groupement central des armées. N'ayant pas d'accès à la mer, le Burkina Faso ne dispose pas de marine.

L’Armée Nationale Burkinabè a été créée le , par la loi No 74-60/AN. Elle s’est constituée sur les cendres de l’armée coloniale française et était composée d’officiers, de sous-officiers et de militaires du rang. À sa naissance, elle était constituée du 1er Bataillon de Haute-Volta qui était composé de cinq compagnies d’infanterie, soit deux à Bobo-Dioulasso et deux à Ouagadougou. Le transfert de commandement entre les autorités militaires françaises et voltaïques s’est effectué le . Depuis lors, la fête anniversaire des Forces Armées Nationales est célébrée le chaque année.

Si à la création de l’armée Nationale, la Gendarmerie était prise en compte car déjà existante sur le terrain depuis juin 1939, il n’en était pas de même pour la force aérienne. En effet le premier embryon de cette entité fut créé le 25 novembre 1965, soit cinq ans après la création de l’Armée Nationale.

L’année 1968 voit la création du 2e Bataillon de Haute-Volta à Bobo-Dioulasso. À la faveur du conflit avec le Mali en 1974, plusieurs garnisons voient le jour.

Une importante restructuration intervient en 1985 avec la création de :

  • six Régions Militaires (RM);
  • six Groupements de Gendarmerie (GG) (Dori, Ouahigouya, Dédougou, Bobo, Ouaga, Fada) ;
  • deux Régions Aériennes (Ouagadougou et Bobo).

Durant la guerre de la Bande d'Agacher, l'armée tente de résister à l'avancée de l’armée malienne en utilisant des méthodes de guérilla[1].

En 1994, il est décidé de la réduction du nombre des Régions Militaires à trois ainsi que la création de trois Régions de Gendarmerie (RG) ayant les mêmes limites et les mêmes chefs-lieux de postes de commandement (PC) que les Régions Militaires à savoir :

  • Kaya pour les 1re RM et RG ;
  • Bobo-Dioulasso pour les 2es RM et RG ;
  • Ouagadougou pour les 3e RM et RG.

En 2011, plusieurs mutineries ont lieu au sein de l'armée lors de la révolte burkinabèe[2].

Blindé ACMAT Bastion du bataillon burkinabè déployé dans le cercle de Goundam en avril 2015.

En 2013, dans le cadre de la Mission internationale de soutien au Mali à la suite de l'insurrection touareg et islamiste qui frappe le pays, 500 soldats ont été déployés au sein de la MISMA au Mali où ils ont pris la relève des soldats français, à Tombouctou en particulier[3].

Les 28, 30 et , des centaines de milliers de Burkinabé sont dans la rue pour protester contre la révision de l'article 37 de la constitution devant permettre à Blaise Compaoré au pouvoir depuis 1987 de se représenter à un nouveau mandat[4]. L'Assemblée nationale est prise et brûlée, et Blaise Compaoré est contraint à la démission et à la fuite en Côte d'Ivoire dans sa belle-famille. Le général Honoré Traoré, chef d'état-major des armées à la suite décrète le couvre-feu, et tente d'assumer les fonctions de chef de l'État. Il promet des élections dans les plus brefs délais. Mais il est rejeté par une partie de la population qui l'estime trop proche du régime déchu. Le lieutenant-colonel Zida Yacouba Isaac, soutenu par la société civile détrône le général et s'autoproclame à son tour chef d'état. Contraint par la rue, il est obligé de remettre le pouvoir à son tour à Michel Kafando, un diplomate à la retraite choisi par consensus en mi-novembre 2014 après la rédaction d'une charte.

À la suite de l'agissement de groupes terroristes sahéliens depuis 2015 dans ce qui est appelé entre autres la guerre du Sahel ayant attaqué en autres des installations militaires au Burkina Faso, un accord de statut des forces est signée avec la France en décembre 2018 permettant aux forces de l’opération Barkhane d'opérer dans ce pays[5].

Entre le et le , il avait répertorié 436 militaires burkinabè tués et 310 blessés par les djihadistes, 1 219 civils tués et 349 blessés par les djihadistes et 588 civils[réf. nécessaire] tués par les forces armées burkinabè[6].

Organisation

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Après les mutineries de 2011, d’importants changement sont entrepris en vue de calmer la troupe. Ainsi les principaux chefs militaires sont demis de leurs fonctions et remplacés par des hommes "acceptés" de la troupe. En outre certains régiments sont supprimés, d'autres fusionnent entre elles et on assiste même a des créations de nouveaux régiments comme les régiments interarmes. Toutefois le nombre de régions militaires et de gendarmerie est toujours maintenu à trois[7].

Depuis 2015, l'armée compte 3 régiments de soutien et 9 régiments de combat dont 5 régiments d'« infanterie commando » et 1 régiment de parachutistes. Le stationnement des unités est le suivant.

Armée de terre

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Entrainement de fantassins Burkinabé en 2017.

1re région militaire

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  • 10e Régiment de Commandement, d'Appui et de Soutien (10e RCAS) basé à Kaya[8]
  • 11e Régiment d'Infanterie Commando (11e RIC) basé à Dori[9]
  • 12e Régiment d'Infanterie Commando (12e RIC) basé à Ouahigouya[9]
  • Régiment d’artillerie (RA) stationné à Kaya[10]

2e région militaire

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3e région militaire

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Anciennes unités

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  • Régiment de sécurité présidentielle (RSP) basé au camp Naaba Koom II de Ouagadougou : dissout le 25 septembre 2015 à la suite d'une tentative de putsch.
  • Régiment blindé (RB) basé à Fada N'Gourma : dissout en 2011 à la suite de mutineries[7]
  • Régiment parachutiste-commando (RPC) de Dédougou : dissout en 2011 à la suite de mutineries[7]
  • 21e Régiment d’infanterie commando (21e RIC) de Bobo-Dioulasso : dissout en 2011 à la suite de mutineries[7]
  • 32e Régiment d’infanterie commando (32e RIC) de Fada N’Gourma : dissout en 2011 à la suite de mutineries[7]
  • Centre d'instruction des Troupes Aéroportées (CITAP) basé à Bobo Dioulasso : dissout en 2011 à la suite de mutineries[7]
  • Bataillon d'Intervention Aéroporté (BIA) basé à Koudougou dissout en 1987 après la prise de pouvoir de Blaise Compaoré
  • Escadron de Transport et d'intervention Rapide (ETIR) basé à Kamboinsé dissout en 1987 après la prise de pouvoir de Blaise Compaoré

Groupement Central des armées

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Les éléments du groupement central des armées (GCA) sont stationnées dans les camps militaires Guillaume Ouedraogo et Sangoulé Lamizana de Ouagadougou. Toutefois des détachements existent auprès des autres régions militaires. Au sein du GCA on retrouve les unités suivantes :

  • Bataillon de l’intendance
  • Bataillon du matériel et du train
  • Bataillon des transmissions stratégiques des armées
  • Bataillon du génie militaire
  • Bataillon de santé
  • Bataillon de Commandement et de Soutien

Force aérienne du Burkina Faso (FABF)

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L'espace aérien national est divisé en 2 régions aériennes

1re région aérienne

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Sa capitale est Ouagadougou. Elle opère les sites suivants pour le compte de l'escadrille de transport

  • Base aérienne 511 de Ouagadougou (principal) où se trouve l'escadrille de transport de la Force Aérienne du Burkina Faso (FABF)
  • Base aérienne 134 de Kaya[15]
  • Aérodrome de Ouahigouya
  • Aérodrome de Dori
  • Aérodrome et base aérienne 111[15] de Fada N'Gourma
  • Aérodrome de Koudougou

2e région aérienne

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Sa capitale est Bobo Dioulasso et elle a sous sa tutelle les sites suivants pour le compte de l'escadrille de chasse

  • Base aérienne 210 de Bobo Dioulasso où se trouve l’escadrille de chasse de la Force aérienne du Burkina Faso (FABF)
  • Aérodrome de Dédougou

Brigade Nationale des Sapeurs Pompiers

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La Brigade nationale de sapeurs-pompiers est une composante des Forces armées nationales mise à la disposition du ministère chargé de l’administration du territoire pour emploi dans le cadre de la sécurité civile.

La Brigade nationale de sapeurs-pompiers relève de l’État-Major général pour toutes les questions d’ordre militaire.

Le commandant de la Brigade nationale de sapeurs-pompiers a rang de chef d’État-major d’armée.

Elle compte six compagnies :

  • 1re compagnie à Ouagadougou
  • 2e compagnie à Bobo Dioulasso
  • 3e compagnie à Koudougou
  • 4e compagnie à Ouahigouya
  • 5e compagnie à Banfora
  • 6e compagnie à Boromo

Gendarmerie Nationale

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Grades et appellations

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Il existe trois grands groupes de grades au sein des forces armées burkinabè. On distingue les militaires du rang, les sous-officiers et le groupe des officiers[16].

Militaires du Rang

  • Soldat de 2e classe
  • Soldat de 1re classe
  • Caporal

Sous-officiers

  • Sergent
  • Sergent-chef
  • Adjudant
  • Adjudant-chef
  • Adjudant-chef major

Officiers

  • Officiers subalternes
    • Sous-lieutenant
    • Lieutenant
    • Capitaine
  • Officiers supérieurs
    • Commandant ou chef de bataillon (armée de terre) ou chef d’escadron (gendarmerie et cavalerie)
    • Lieutenant-colonel
    • Colonel
    • Colonel-major
  • Officiers généraux
    • Général de brigade
    • Général de division
    • Général de corps d'armée
    • Général d'armée

Engagements

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Les forces armées du Burkina Faso ont été engagées à 2 reprises contre le voisin malien. La première fois en 1974 sur fond de différend frontalier n’entraîne que des échanges de tirs d'armes légères qui ne font aucune victime de part et d'autre. La seconde fois en 1985 connue sous le nom de guerre de Noël ou guerre de la bande d'Agacher.

Elles participent également à la guerre civile en Sierra Leone et au Liberia et sont confrontées depuis la fin des années 2010 a l'insurrection djihadiste au Burkina Faso.

Au titre des missions de maintien de la paix et celles de la CEDEAO, les forces armées du Burkina Faso sont déployées dans les conflits suivants :

  • MINUSMA au Nord-Mali avec un bataillon renforcé de 990 hommes et un autre bataillon renforcé de 935 hommes ainsi que des officiers d'état major, soit près de 2 000 hommes plus un hélicoptère Mil Mi-17 et un avion de surveillance DA-42[17].
  • MINUAD au Darfour avec un bataillon de 800 hommes et une FPU de 140 gendarmes[18].
  • ECOMIB en Guinée-Bissau avec une FPU de 140 gendarmes.
  • MINUSTHA
  • MONUSCO
  • MINUSS
  • ONUCI
  • Etc.

Équipement

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Armée de terre

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Camions de transport

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Véhicules blindés

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Défense anti-aérienne et canons

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Pistolets mitrailleurs[21]

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Armes Antichars

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Armements anciens (maintenus en réserve ?)[22]

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Force aérienne

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Un SIAI-Marchetti SF-260WL Warrior, aux couleurs du Burkina Faso, des Ailes anciennes les Mureaux.

Initialement baptisée « Escadrille de la République de Haute-Volta » en 1964 et « Force aérienne de Haute-Volta » en 1970, elle fut renommée en « Force aérienne du Burkina Faso » (FABF) en octobre 1985. Elle comprend peu après l'indépendance 2 Douglas C-47 Skytrain et 3 Max-Holste MH-1521 Broussard.

En 1984, la Libye sous Mouammar Kadhafi apporte un soutien à la force aérienne burkinabè en lui fournissant 10 Mikoyan-Gourevitch MiG-21 et quelques MiG-17. Ils ne sont plus en service.

Elle acquiert en 2005 à la Russie 2 hélicoptères d'attaques Mil Mi-24 en réponse apparente à la crise politico-militaire en Côte d'Ivoire.

Elle comprend une trentaine d'aéronefs pour un personnel actif de 600 hommes au total en 2013[23].

Aéronef Type Versions En service Notes
Embraer EMB 314 attaque légère et

lutte anti-guérilla

AT-29B Super Tucano 3 6 commandés, 3 livrés en 2013
Airtech CN-235 avion cargo CASA CN-235-220 M 1 livré en 2007
Celier Xenon 2 (en) autogire Celier Xenon 2 2 livrés en 2010
Eurocopter AS365 Dauphin hélicoptère utilitaire SA 365 N 2
Eurocopter AS350 Écureuil hélicoptère utilitaire AS 350 B2 2 2 exemplaires depuis 1991
Diamond DA42 avion de surveillance DA42NG 1 livré en 2016
Mil Mi-17 hélicoptère utilitaire Mi-17 8 4 Mi-171SH commandés en 2017
Mil Mi-35 hélicoptère d'attaque Mi-35 Hind-E 4 Livrés en 2005
Bell UH-1 Iroquois hélicoptère de transport UH-1H 2 Livrés en 2017 par Taïwan, 3 autres promis en 2018[24],[25]
Beechcraft Super King Air avion utilitaire Super King Air 200 1
Beechcraft 200 avion utilitaire B200  1
Humbert Tétras avion de surveillance 3 Livrés en 2013. Un autre livré en décembre 2020, un autre prévu en 2021[26]
Boeing 727 Avion de transport VIP B727-200 1
AgustaWestland AW139 Avion de transport VIP AW139 1 Livré en 2016
Reims 172 Skyhawk avion de liaison F172 N 1
Reims 337 Skymaster avion de liaison F337 D 1
Air Tractor AT-802 pulvériseur agricole AT802 1
Piper PA-34 avion de liaison PA-34 1

Anciens aéronefs

Aéronef Type Versions Nombre Notes
Mikoyan-Gourevitch MiG-21 avion de chasse supersonique/Intercepteur 8 MiG-21bis, 2 MiG-21UM 12 12 avions envoyés par la Libye de Khadafi dans les années 1980
Mikoyan-Gourevitch MiG-17 avion chasseur-bombardier MiG-17F 1 Sert comme décoratif a l'entrée de la base 511.
Mil Mi-8 hélicoptère utilitaire Mi-8 V
Mi-8 S
2
1
transport tactique
SIAI Marchetti SF.260 Attaque légère et lutte anti-guerilla SF.260W 19 Le Burkina Faso reçoit 19 appareils de la Libye, de Philippines et d'Italie. 6 d'entre eux, des SF-260W, sont revendus sur le marché civil en 2006.
Nord-Aviation N262 avion de transport tactique Nord 262 C 2 transport tactique
Boeing 727 Avion de transport VIP Boeing 727-100 1 Avion présidentiel (immatriculé XT BBE)
Beechcraft King Air avion utilitaire Super King Air 200 1 2 exemplaires livrés en 1991. 1 toujours en service
Avro 748 avion utilitaire HS.748 2A 1 transport tactique
Air Tractor AT-802 pulvériseur agricole AT802A 1
Alouette III hélicoptère utilitaire SA 316B 1
Bayraktar TB2 Drone d'attaque et de surveillance TB2 5 Livre Aout 2022
Bayraktar Akinci Drone derniere generation Akinci 12 Livre Avril 2024

Notes et références

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Sur les autres projets Wikimedia :

  1. Benjamin Roger, « Il y a trente ans éclatait la « guerre de Noël » entre le Mali et le Burkina Faso », sur Jeune Afrique (consulté le ).
  2. Philippe Bernard, « La colère de l’armée et l’ire de la jeunesse montent contre le président burkinabé », Le Monde, 23 avril 2011, p. 8
  3. (en) Mali conflict: West African troops to arrive 'in days', BBC News, 15 janvier 2013
  4. « Burkina Faso : manifestation massive contre le régime de Blaise Compaoré », lemonde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  5. État-major des armées, « BARKHANE : Opération majeure avec les forces armées nationales du Burkina Faso », sur Ministère des Armées (consulté le ).
  6. Anne Mimault, « Fin de Barkhane  : on réagit au Burkina Faso », sur lepoint.fr, (consulté le ).
  7. a b c d e f g h i et j « Forces armées nationales : Les dernières décisions de Blaise Compaoré », sur sig.bf,
  8. Timothée Some, « Burkina Faso: 10e Régiment de commandement, d'appui et de soutien - Le chef de bataillon Didier D. Yves Bamouni prend le commandement », AllAfrica.com,‎ (lire en ligne)
  9. a b c et d « Concours de recrutement d’Elèves Sous-Officiers de la 10ème promotion de l’Ecole Nationale de Sous-Officiers d’Active, cycle 2017-2018 »,
  10. « Régiment d’artillerie de Kaya: Didace Cko Da, chef d’escadron, nouveau chef de corps », sur sciences-campus.info,
  11. Laure Bénédicte Traoré, « 20e Régiment de Commandement d’Appui et de Soutien : Elie Tarpaga, le nouveau commandant de bataillon », L'Express du Faso,‎ (lire en ligne)
  12. a et b Camille Dubruelh, « Burkina Faso : après les mutineries, l’armée se réorganise », Jeune Afrique,‎ (lire en ligne)
  13. Mamouda Tankoano et Ezékiel Ada, « 30e régiment de commandement d'appui et de soutien:Le colonel Pierre Ouédraogo aux commandes », Le Pays,‎ (lire en ligne)
  14. « Un accueil triomphal pour les soldats de Tenkodogo », sur burkina24.com,
  15. a et b « Burkina Faso : Création de deux bases aériennes pour les villes de Kaya et de Fada (Décret) - leFaso.net », sur lefaso.net (consulté le ).
  16. « Grades et Appelations », sur defense.gov.bf via Wikiwix (consulté le ).
  17. « Mali : Le Burkina enverra 935 soldats supplémentaires - L'Actualité du Burkina Faso 24h/24 », sur L'Actualité du Burkina Faso 24h/24, (consulté le ).
  18. « Maintien de la paix et de la sécurité au Darfour : le bataillon «Laafi 6» prêt à être déployé », sur aOuaga.com (consulté le ).
  19. (en) The ACMAT ALTV secures another export order, ACMAT, consulté le 17 janvier 2013
  20. a b et c (fr) 144 véhicules tactiques au profit des forces armées Burkinabè, Radiodiffusion Télévision du Burkina, consulté le 27 janvier 2013
  21. a b c et d (en) Richard D Jones, Jane's Infantry Weapons 2009/2010. Jane's Information Group; 35e édition (27 janvier 2009). (ISBN 978-0710628695).
  22. J. Huon, Encyclopédie mondiale de l'Armement. Jacques Grancher; 2012.
  23. (en) « Order of Battle - Burkina Faso »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)
  24. « Journal économique et financier », sur latribune.fr, La Tribune Nouvelle (consulté le ).
  25. « https://apanews.net/index.php/news/lutte-contre-le-terrorisme-taiwan-promet-50-vehicules-et-3-helicopteres-au-burkina »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)
  26. Aminata Sanou, « Lutte contre le terrorisme : La France remet un aéronef au Burkina Faso », sur L'Actualité du Burkina Faso 24h/24,

Articles connexes

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